La motivation c’est ce qui vous donne envie de faire les choses, de réussir, c’est ce qui vous permet chaque matin de vous lever. Toute la difficulté est d’avoir cette motivation mais ensuite de la conserver et de l’a faire durer sur le long terme. Tout entrepreneur a besoin d’une motivation constante.
La première chose : se faire confiance
Faire confiance à soit même, puis faire confiance aux autres, et prendre le risque de faire confiance.
Passez à l’action
Ensuite lancer vous, soyez pro-actifs. Donner vous les moyens de réussir vos projets. Lancez vous, mettez vous à l’eau. Simplement. Quoi qu’il en soit donnez vous les moyens.
Rester concentré
Ne laissez personne ne vous dire ce que vous avez à faire. Ne laissez pas les bruits du monde entacher votre vision. Vous trouvez toujours des avis contraires, des gens qui vous dissuaderont de faire ce que vous voulez faire. de vous lancer, de prendre des risques. 99% des gens choisissent la sécurité, c’est humain, cela fait partie de la nature humaine. Qui dit sécurité dit aussi au final de petits gains. Donc si vous voulez réussir dans la vie il faut prendre des risques, certes prendre des risques mesurée, mais prendre des risques in fine. Clairement ce n’est pas la « voie de la sécurité ». Si vous choisissez la sécurité ne vous plaignez pas d’avoir une vie de bureau, de salariés corvéables à merci, ou de fonctionnaires. C’est un choix que je respecte. J’ai des amis salariés. Pour tout les autres, oui vous les insatisfaits, oui c’est à vous que je m’adresse, oui pour tout les autres prenez des risquez, lancez vous, OUI vous ferez des erreurs, mais ces erreurs sont positives, car elle vous permettent de modifier votre trajectoire pour aller au point que vous vous êtes fixez.
Les échecs sont des étapes
Maintenant laissez vous dire la vérité. Vous subirez des échecs, vous allez suer, vous aller en chier, vous aller pleurer, vous allez souffrir. Vous comprenez ça ? Oui vous allez souffrir, mais au final au bout du tunnel, la ou est la lumière, vous trouvez la réussite. C’est le prix à payer, et oui il faut avoir subit des échecs avant de réussir, sans échec il n’y a pas de réussite. Tout ces échecs sont salvateurs. Tout ces échecs sont des étapes, des échelons sur l’échelle de la réussite.
Maintenant je vais vous raconter une petit expérience, une de mes histoires, une de mes aventures quand j’étais plus jeune.
Ma traversée de la france à pied
En 2001 j’ai entrepris de traverser la France à pied, une partie de l’Europe d’ailleurs. J’ai décollé à Bray-Dunes sur une plage de Belgique et je suis descendu jusqu’en Espagne sur une plage de Méditerranée. De la mer à la mer. La boucle était bouclée. A cette époque, des amis de mes parents, des randonneurs « avertis », les avaient mis en garde :
« ton fils fait une erreur en partant comme ça, sans expérience de la randonnée. C’est très risqué Il ne fera pas 10 kilomètres sans se faire contrôler par la police. » Certes je me suis fait contrôler une fois lors de mon voyage. Jusqu’à preuve du contraire, marcher n’est pas prohibé par la loi. 1300 km à pied d’homme, seul une fois j’ai eu un contrôle pour justifier de mon identité et de ma démarche.
Cela dit j’ai des incidents en effet j’en ai eu. Par exemple, j’ai été pris en chasse par des « pirates », des pirates de la route, à la sortie de Meaux, en Seine et Marne dans l’est parisien. J’ai du me camoufler et me cacher dans un champs prêt de la route, avec mon barda, en mode camo. Les mecs m’ont chercher en voiture, ils sont repassé par là ou il m’avait repéré dans leur voitures (je marchais le long de la route sur l’autre voie). Peut être ces mecs m’auraient-il dépouillés. Je ne me suis donc pas trop mal sortir.
Autres incident, évènement un peu traumatisant par contre, je me suis fait charger dans le Cantal en pleine montagne, sur le plateau du Limon. Je me suis retrouvé dans un alpage, et l’ensemble du troupeau m’a chargé, il y avait 3 taureaux. J’ai failli y laisser ma peau. Finalement j’ai eu de la chance, je m’en suis sorti vivant. Cela fait partie de l’aventure, et c’est pour ça que je peux témoigner de cela aujourd’hui.
Revenons à la motivation donc. Alors pour ce périple il me fallait accomplir 1300Km à pied, à pas d’homme. Ce fut une épreuve assez physique, puisque je me trimballais sur le dos un sac de 20 à 25 kilos. En total autonomie. Cela dépendait des vivres que j’avais sur moi (eau et nourriture). Que dire sur ce voyage ? C’est surtout le MENTAL qui m’a permit de tenir le choc. C’était très physique mais c’est surtout le mental. Donc n’oubliez pas d’avoir toujours un mental de commando.
Relativiser
Maintenant je vous répondrais que ce n’est qu’une balade de santé, ce n’est juste que 1300km. Je pense à l’explorateur Mike Horn, qui lui à traverser le monde en suivant l’équateur sans aucune assistance motorisée. ça c’est un exploit d’une autre dimension. Si un homme peut faire cela, traverser la France à pied c’est une épreuve de santé. Donc restez motivé, faites vous plaisir. Quand j’ai fais cela à l’époque j’avais prévu un budget de 150€ par mois, et j’ai tenu. Ce n’était pas un problème, car j’avais la motivation. La motivation de réussir le défi que je m’étais lancé. Donc cela est très important. Lancez vous des défis, et restez motivé afin de les accomplir et de les réussir. Et quand bien vous vous plantez, ce n’est pas grave, remontez sur votre cheval et recommencez.
Ces petites victoires sur soit entretiennent la motivation
Donc fixez vous des objectifs dans la vie et tenez vous en.
Suite à cette petite ballade de santé, de Belgique jusqu’en en Espagne, cela m’a prit plus de 3 mois de marche. J’ai été interviewé ensuite par un magazine régional (Courrier Picard quand tu nous tiens). Cela a constitué ma première interview. Je me rappel du gros titre à l’époque d‘ailleurs. C’était assez comique. Je me faisais appelé par mes potos « Magnificux ». « Magnificux marche » c’était le nom de l’article du journaliste. Suite à cette article j’ai eu l’occasion de donner des conférences, au sujet de la randonné et au sujet de mon petit périple. Cette première victoire sur moi même m’a donné confiance en moi. Ce sont des petites victoires comme celles là qui permettent de générer encore plus de motivation, pour continuer et avancer dans votre vie.
Comme je vous l’ai dis préalablement, vous aurez des gens (votre famille, des amis peut-être) qui vous dissuaderont de vous lancer, vous dirons que c’est dangereux, inutile ou présomptueux, « tu ferais mieux de faire ceci ou cela », « tu ferais mieux de travailler pour un patron », « Tu ferais mieux de bien bosser à l’école », etc, etc. Bosser à l’école c’est important, c’est ce que l’on nous a fait croire. Oui c’est important de bosser dans la vie, mais en vérité le plus important c’est de ne pas bosser dans le vide. Et il ne faut pas bosser pour un patron (ou pas trop longtemps), il ne faut pas bosser pour rien. Il faut bosser sur vos propres projets, et vous avez besoin de motivation.
Donc soyez la flèche, la flèche qui vous permettra d’atteindre vos ob-jec-tifs. Une fois de plus : ne vous laissez pas distraire par les bruits du monde. Ce brouhaha. Ce que j’appelle la distorsion mentale. Qui vous dira tout le temps de ne pas faire ce que vous avez à faire. Mais faites le, donnez vous les moyens, et croyez moi le succès est au bout du chemin, ce n’est qu’une question de temps. Rester concentré !
Voilà cela m’a fait plaisir de partager cette tranche de vie avec vous. N’hésitez pas à partager vos expériences aussi, et vos astuces pour rester motivé !